Pôle enfant
C’est un petit livre rouge : il ne cache pas ses intentions de faire baisser le prix du médicament. Il y est écrit, en effet, que son « prix peut être diminué par le biais d’une réduction des taxes sur les médicaments remboursables par la Sécurité sociale ». La promesse, qui a de quoi séduire, a été faite par le ministre de la Santé Olivier Véran lors de son audition devant la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, le 29 septembre dernier.
Santé : le médicament est devenu un produit comme un autre
L’affaire est connue depuis longtemps : les laboratoires qui fabriquent les génériques doivent faire baisser le prix du médicament qu’ils commercialisent, afin que les patients qui ne peuvent payer le prix fort des génériques puissent se procurer leurs médicaments à un prix plus bas. Le gouvernement est d’accord, puisque le ministre de la Santé veut ainsi faire baisser le prix des médicaments. C’est une bonne nouvelle, car les patients en ont besoin, les laboratoires aussi, et les laboratoires ont beaucoup d’argent à investir. Mais les médicaments sont aujourd’hui de véritables produits, comme les voitures, qui doivent être vendus à un prix raisonnable.
Le ministre de la Santé Olivier Véran a donc pris les devants. Il a fait cette promesse à la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, en début de semaine. « Nous avons décidé, au nom de la solidarité, de mettre fin à la politique des prix administrés et de la faire évoluer vers une politique de gestion des risques », a expliqué Olivier Véran.
Ma liberté n’est pas en cause
Ce qui est en cause, c’est que la politique des prix administrés est un moyen de garantir aux laboratoires de conserver leur monopole sur les médicaments qu’ils fabriquent. Les génériques ne sont pas une alternative au médicament, mais un substitut. Les génériques sont le moyen de réduire le prix d’un médicament qui est très cher.
Cette politique des prix administrés était déjà à l’oeuvre
Or, il n’y a pas de secret : le marché français des médicaments est un marché de monopole. Les seuls à pouvoir vendre un médicament à un prix plus élevé sont les laboratoires qui le fabriquent, et les seuls à avoir les moyens de le faire sont ceux qui détiennent les brevets sur le médicament.
C’est pourquoi Olivier Véran a voulu mettre fin à la politique des prix administrés qui était déjà en vigueur. Il a donc annoncé qu’il allait mettre fin à la politique des prix administrés. Les prix des médicaments pourront être décidés par les pouvoirs publics, mais les prix des médicaments seront déterminés par les labos pharmaceutiques. Il faudra donc que les labos paient moins cher leurs médicaments pour que les patients puissent se les procurer.
C’est une nouvelle, et une bonne nouvelle, pour tous les patients : le gouvernement est prêt à faire baisser le prix des médicaments.
Et les patients ne sont pas les seuls à profiter de ces baisses de prix. Elles peuvent aussi profiter à d’autres laboratoires : le laboratoire Servier, dont le médicament le Mediator est au cœur du scandale de santé publique de 2009, a été racheté par une entreprise de génériques qui est aussi un fabricant de génériques.
Depuis, les génériques du Mediator sont devenus plus abordables, mais cela n’a rien changé à la situation du Mediator.
En revanche, les labos pharmaceutiques sont inquiets pour l’avenir de leur monopole. Ils craignent que, dans un marché libre et concurrentiel, des concurrents se mettent à fabriquer des génériques moins chers que les leurs, ce qui diminuerait les marges qu’ils ont sur leurs produits et les rendrait moins rentables.
Or, si les labos pharmaceutiques voient leurs marges diminuer, c’est aussi parce que les génériques sont moins chers qu’eux. Ils vont donc avoir du mal à conserver leur monopole.
Ainsi, depuis le début de l’année, les laboratoires pharmaceutiques ont connu de multiples rebondissements en matière de prix des génériques. Le premier a été l’officialisation du prix des génériques du Mediator par la Haute Autorité de Santé (HAS).
Le second a été l’annonce de l’arrêt du remboursement des génériques du Mediator par l’Assurance maladie.
Le troisième rebondissement a été le projet d’arrêt du remboursement du Mediator par le ministère de la Santé.
Si, en principe, ces trois décisions étaient conformes à la loi (art. L. 5121-8 du code de la santé publique), les laboratoires pharmaceutiques et les firmes de génériques se sont très vite empressés de les contester devant les tribunaux.
Le quatrième rebondissement est lié au fait que la Cour de cassation a décidé, le 9 septembre dernier, de ne pas casser la décision de la Haute autorité de santé. Il semble que le tribunal de première instance se soit laissé berner par la HAS.
Les labos pharmaceutiques ne peuvent pas faire baisser les prix de leurs médicaments en jouant sur la loi. Ils sont tenus de faire baisser le prix de leurs médicaments s’ils veulent garder leur monopole.
Or, ils sont bien incapables de faire baisser le prix du Mediator.
Les labos pharmaceutiques ont donc été obligés de contester devant les tribunaux les décisions de la HAS et de la Cour de cassation, tout en poursuivant leur bataille juridique devant les tribunaux...
L’arrêt rendu par la Cour de cassation le 9 septembre dernier a pour effet de faire baisser le prix du Mediator à partir du 25 octobre prochain.
Mais il a aussi pour effet de faire baisser le prix du Mediator pour les patients qui ne pourront pas se le payer à ce moment-là, puisqu’il faut bien que le laboratoire qui fabrique le Mediator le rende accessible.
C’est pourquoi la question se pose de savoir si ce rebondissement va faire baisser le prix du Mediator.
Cet arrêt de la Cour de cassation pourrait-il provoquer une nouvelle baisse du prix du Mediator ? La baisse du prix du Mediator aurait-elle été possible sans cette décision de la Cour de cassation ?
La réponse à ces trois questions est positive.
En effet, le rebondissement de la Cour de cassation a pour effet de faire baisser le prix du Mediator pour les patients qui ne pourront pas se le payer à ce moment-là, puisqu’il faut bien que le laboratoire qui fabrique le Mediator le rende accessible.
Cette décision de la Cour de cassation fait baisser le prix du Mediator pour les patients qui ne pourront pas se le payer à ce moment-là, puisqu’il faut bien que le laboratoire qui fabrique le Mediator le rende accessible.
Pour les patients qui pourront se le payer, cette baisse du prix du Mediator va faire baisser leur facture d’environ 10 euros par mois.
Pour les patients qui ne pourront pas se le payer, il n’y aura aucune conséquence pour leur facture d’environ 10 euros par mois.
Ce rebondissement de la Cour de cassation va permettre à de nombreux patients de se faire prescrire le Mediator à un prix plus bas.
Mais la Cour de cassation n’a pas encore décidé si elle ordonnait à la HAS ou à l’Assurance maladie de rembourser le Mediator. Cette ordonnance pourrait être donnée dans le courant de l’été.
Serait-ce l’occasion de faire baisser le prix du Mediator ?
Il n’y a pas de raison de penser que ce rebondissement aura un impact sur le prix du Mediator.
Cela fait plusieurs années que des experts indépendants demandent à la HAS de se pencher sur les effets indésirables du Mediator sur la santé. La HAS a toujours refusé de se pencher sur le sujet. La HAS a fait savoir qu’elle ne s’était pas prononcée sur le Mediator en 2011, 2012, 2013 et 2014. Depuis, la HAS n’a fait que réaffirmer sa position : elle estime que le médicament ne présente pas de risque majeur.
Même si elle a changé d’avis, la HAS a tout de même fait savoir qu’elle ne se pencherait pas sur le Mediator en 2016.
Par ailleurs, le 12 juin dernier, la HAS a annoncé qu’elle ne se prononcerait pas avant 2016 sur une nouvelle étude indépendante sur les risques du Mediator.
Dans le même temps, la HAS a pris des engagements pour accélérer les procédures d’indemnisation des victimes.
L’association France Assos Santé a déposé en mai 2015 auprès de la HAS une demande pour que la HAS s’associe à une autre association pour accélérer les procédures d’indemnisation des victimes. Le comité d’indemnisation des victimes du Mediator avait annoncé qu’il enverrait une lettre à la HAS en juillet pour lui demander de reprendre cette procédure.
Le 17 juillet 2015, la HAS a annoncé qu’elle allait étudier la demande d’association. La procédure pourrait prendre plusieurs mois. Pour les patients qui n’auront pas reçu leur indemnisation, le coût de cette procédure est de 50 000 euros.
Les patients sont aujourd’hui inquiets pour le Mediator et ils attendent une décision de la HAS.
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